Conditions de travail

En l’espèce, la salariée avait adopté un comportement se manifestant par des critiques, des moqueries, de la violence verbale et physique, une déstabilisation dans les relations professionnelles et une forme de manipulation allant au-delà de simples plaisanteries entre collègues. L’ambivalence de l’attitude de la salariée était source de souffrance au travail.

Peu importaient alors l’ancienneté et l’absence d’antécédents disciplinaires de la salariée : ce comportement inadapté et « harcelant » caractérisait une faute grave.

Cass. soc., 14 février 2024, n°22-23.620