Dès lors que le salarié était soumis à une obligation de pointage lors de son entrée dans l’usine, pour chaque demi-journée de présence, donnant lieu à des relevés informatiques reprenant chaque jour les heures d’arrivée et de départ et le nombre d’heures travaillées, et qu’une journée de travail, pour être validée, devait comptabiliser six heures de présence dans l’entreprise, il ne disposait pas d’une réelle autonomie dans l’organisation de son emploi du temps et ne pouvait donc être éligible à une convention de forfait en jours.
Brèves
Pas de forfait jours sans autonomie réelle
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