Rupture

En l’espèce, le juge du fond a estimĂ© que la salariĂ©e Ă©tait au moment de la signature de l’acte de rupture conventionnelle dans une situation de violence morale du fait du harcèlement moral dont il a constatĂ© l’existence, rĂ©sultant notamment de propos dĂ©placĂ©s rĂ©guliers, voire quotidiens, de nature discriminatoire et des troubles psychologiques qui en sont rĂ©sultĂ©s.

Par conséquent, la convention de rupture était nulle.

Cass. soc., 1er mars 2023, n° 21-21.345